Et si, au-delà de cette comptine, l’Oulibouniche n’était en fait que l’émergence de notre part de créativité, ce brin de folie personnelle, ce « moi » bien caché qui pour exister, l’instant d’un voyage, n’a pas trouvé mieux que de matérialiser ces petits riens existentiels dont on ne sait plus faire les montagnes de rêves où s’exprime, pourtant si bien, notre part d’humanité.
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