Et si, au-delà de cette comptine, l’Oulibouniche n’était en fait que l’émergence de notre part de créativité, ce brin de folie personnelle, ce « moi » bien caché qui pour exister, l’instant d’un voyage, n’a pas trouvé mieux que de matérialiser ces petits riens existentiels dont on ne sait plus faire les montagnes de rêves où s’exprime, pourtant si bien, notre part d’humanité.
14ème jour : de Bentota à Paris, via Colombo
Vol retour vers Paris…
millésime 2004, écrit par MacsouQuête de l'Oulibouniche, Sri-Lanka Pas de commentaire »
MERCREDI : Cinq heures du mat, on a des frissons, direction l’aéroport de Colombo avec une étrange sensation ; celle d’une boucle qui s’achève et qui, malgré l’absence matérielle de preuves, nous rapprochait de la solution de notre énigme « Oulibouniche ». À n’en point douter, notre quête ne tarderait plus à prendre le sens qui nous manquait encore.
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